NOTRE CARNET

Sur cette page nous partagerons avec tous, les évènements heureux ou famille des anciennes et anciens de Nazareth

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DÉCÈS

*** Monsieur le docteur Edouard Mulliez, décédé le 28 janvier 2009,  papa de Jeanne-Françoise,  Monique, Sabine, Bernadette, Fabienne, Marie Dorothée et les familles Bernard, Deroide, Martinet.

*** Monsieur Jean Pierre Valcke décédé le 21 janvier 2009, papa de Christine, M. Pierre, Hélène, J. Loup, Didier et Etienne (+) . Obsèques le samedi 24 à 11 h. à Poix en Picardie.

***  Benoit Hursin (promo 1999) décédé le 9 décembre à l'âge de 27 ans , fils de Michel et Anne Lice Hursin-Leynaud , frère de Vincent et Arnaud également anciens de Nazareth.

***  Brigitte Martinet (promo 1953) décédée le 10 décembre 2008, épouse Hamy. Maman d'Amélie et Estelle (obsèques le 15.12 à Baincthun à 15 heures)

***  Claire Rohmer (promo 1990) décédée le 13 décembre épouse Veillard. Fille de Agnès Destombe (promo 1971) ép Rohmer ( obsèques le 16.12 à 11 heures à Hardelot)

*** Madame C. Grelat, décédée le mercredi 12 novembre 2008. Maman d' Isabelle promo 83

***  Madame J. Démarchez - Lemaire (promo 71), décédée le 8 octobre 2008. maman de Frédéric.

***  Madame Jeanne Marie Wallet - Delaplace décédée le 27 août 2008, ancienne élève de Nazareth (promo 71), appartenant au personnel d"éducation du lycée Nazareth : (surveillante des premières et autrefois des secondes). Ses obsèques :  à Desvres le lundi 1er septembre à15h .
  Mot d'accueil le jour de ses obsèques :

     Jeanne marie c’est ainsi que tous ses collègues l’appelaient.
     Nazareth était sa seconde maison : elle en connaissait tous les coins et recoins, elle connaissait tout le monde, elle y a vécu plus de 40 ans, elle y est entrée comme élève et a continué comme éducatrice de la vie scolaire.
     Depuis un an elle avait dû à nouveau faire une parenthèse dans son activité professionnelle, mais comme elle avait coutume de le faire, lundi dernier pratiquement à cette heure elle était venue, avec son mari, nous rendre visite. Elle savait que l’activité avait repris et elle avait besoin d’humer les préparatifs de la rentrée scolaire.
     Elle était rayonnante, gaie, nous a raconté ses vacances, a pris des nouvelles de chacun et mercredi, en pleine vie, la mort l’a ravie par surprise.
     Jeanne Marie excellait dans l’art de l’accueil et du service. Nous étions ses collègues mais aussi ses amis, si nous passions par Desvres, la porte était toujours ouverte. Elle nous confiait ses joies, ses peines. Nous savons que sa famille était tout pour elle. Elle était une mamie comblée : ses petits enfants étaient son rayon de soleil.
     Son tempérament positif nous interpellait : Jeanne Marie ne niait pas la maladie, elle la combattait avec détermination mais elle ne voulait pas que cette fichue maladie pollue ses relations : nous n’en parlions pas. Elle aimait la vie, elle l’accueillait, la rendait plus belle et nous l’offrait comme un cadeau. Elle aimait rire, ses fous rires raisonneront toujours dans nos têtes.
     Des milliers de jeunes ont eu la chance de rencontrer Jeanne Marie : elle les aimait, elle savait les écouter, les aider, les guider et leur donner des repères. Son œuvre éducative a été immense et laissera une empreinte forte.
     Jeanne marie, tu ne parles plus mais tu es vivante, tu ne bouges plus mais tu es vivante, tu ne souris plus mais tu nous regardes, les liens d’amour et d’amitiés que tu as créés ne se briseront jamais, tu es simplement partie de notre regard.

*** Karine Top (promo 92), décédée accidentellement dans les gorges du Verdon le 5 août 2008. Soeur de Vincent et Hélène  également anciens de Nazareth.

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Anne Marie 
MACRET DELIGNY 

nous a quittés 

le 16 juillet 2008.

     Elle avait réalisé sa carrière de professeur d’histoire géographie au lycée et au collège NAZARETH de1966 à 2006.
     Voici le mot d’accueil prononcé par Marie France Leclercq, le jour de ses obsèques :

« Sois sage ô ma douleur et tiens toi plus tranquille »

En arrivant il y a quelques jours dans la chambre d’Anne-Marie, je la trouvai agacée de ne pas retrouver ce vers de Baudelaire. Et ce fut le début d’une réflexion sur la vie et la mort, tant les deux sont intimement liés. Nous en avons parlé dans la plus grande dérision comme elle affectionnait de le faire. Pourtant que de messages en demi teinte dans cet échange informel, messages dont je me fais l’ interprète aujourd’hui pour vous transmettre à tous, à chacun, un merci chaleureux de la part d’ Anne-Marie, que vous avez entourée, aidée, aimée, vous sa famille, vous ses amis, vous ses infirmières et ses médecins, vous ses élèves qu’elle n’oubliait pas.

     Anne-Marie, tu ne parles plus mais tu es vivante. Tu ne bouges plus mais tu es vivante. Tu ne souris plus, mais tu nous regardes. Alors nous ne voulons pas te décevoir. Tu abhorrais la tristesse, aussi nous voulons que ce dernier voyage où tu pars seule, un comble pour toi qui voulait toujours emmener quelqu’un où quelqu’une dans ses bagages, nous voulons que ce voyage ne soit pas triste. 

     La célébration que nous allons vivre avec toi et pour toi, tu en es le maître d’œuvre. OUI, jusqu’au bout tu as organisé, géré, dirigé, imposé tes volontés, tes désirs, laissant très peu de places à nos propres initiatives. C’était ta façon d’aimer, de nous aimer. Cela a pu nous agacer quelquefois, maïs que d’amour, que de générosité dans cette manière que tu avais de devancer les désirs de chacun, tout simplement pour rendre heureux. Anne–marie avait la communication dans le sang, s’intéressait à l’ordinaire comme à l’extraordinaire, au fait divers comme au fait de société. Curieuse, cultivée, passionnée, elle avait le sens, ô combien essentiel de la dérision ! Elle savait accueillir la vie, la valoriser, l’amplifier. Elle voulait être aimée, c’est cet amour que nous sommes venus lui apporter .Un amour plus fort que la mort, car l’amour ne meurt pas, il est le but ultime de la vie et c’est une notion que l’on pouvait découvrir en partageant le quotidien d’Anne- Marie.

     Elle a aimé jusqu’au sacrifice, repoussant avec obstination les limites que la maladie lui imposait, déjouant les pièges, anticipant sur des malaises récurrents qu’elle avait fini par apprivoiser. Pour Anne- Marie l’aventure de la vie s’est transformée en aventure d’aimer. Amour filial. Amour conjugal. Amour maternel. Amour d’un métier consacré aux jeunes. Amour et amitié dans les rapports humains. Amour même de cette souffrance qui depuis de longues années était d’une compagnie trop fidèle.

     Boulimique de projets, elle préparait jour après jour sans en avoir l’air « l’après », mettant tout en ordre, anticipant des réparations domestiques éventuelles pour assurer à José le confort qu’ils avaient partagé. Aujourd’hui, tout est à sa place ! Un véritable marathon dont nous avons été les acteurs médusés et souvent dépasses par cette énergie qu’elle déployait pour consolider l’avenir ; souvent, elle nous laissa épuisés sur le bord de la route !

     Et puis ce cœur qui avait tant donné s’est épuisé, pour le temps qui reste, nous devrons apprendre à nous débrouiller avec son silence, son absence car nous attendrons toujours le coup de téléphone d’Anne-Marie, le fil de l’amour , le fil de l’amitié ne se brisera jamais, il y aura toujours entre nous des aveux murmurés, des secrets bien gardés, tous ces mots nécessaires ou inutiles qui témoignent d’ un attachement car la vie est la plus forte. Pourtant Anne- Marie n’appellera pas aujourd’hui, Anne–Marie n’appellera pas les autres jours non plus mais elle vivra toujours dans nos cœurs.

     L’ attention généreuse, affectueuse qu’ elle portait à José, à ses enfants, ses petits enfants qui ont illuminé de leur joyeuse insouciance ces derniers moments de vie ,à ses amis qui parfois maladroits ne savaient trop que dire que faire devant ce courage forcené qui maîtrisait parfaitement l’art de la dissimulation, nous fait dire que nous sommes riches d’ avoir un jour croisé son chemin. Ce qu’elle a semé en chacun loin de disparaître commence à germer à se développer.

Anne –Marie, tu n’es pas loin, juste de l’autre côté du chemin. 
Tu réclamais le soir, il descend, le voici : 
Une atmosphère obscure enveloppe la ville. 
A toi portant la Paix, aux autres le souci
Entends, ma chère, entends la douce nuit qui marche

*** Madame Marie-Josée debusschère-Leroy décédée le 25 juillet 2008, dans sa 85° année. Maman de Philippe, pierre, Pascale, Florence, France, Frédéric, Dominique.

*** Madame Geneviève Byl-Dupuich décédée le 23 juillet 2008 dans sa 82° année. Maman d'Olivier.

*** Madame Brigitte Herbez-Robert (ancienne promo 72), décédée le 15 juillet 2008 de la part d'Eric Herbez son époux.

*** Monsieur l'abbé Dantan, curé de la Cathédrale de Boulogne sur mer pendant de nombreuses années, décédé le 21 mai 2008.

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MARIAGES

**** Charlotte DESBARBIEUX et Fabien Bonnet le Samedi 25 octobre 2008

**** Solenne BARON et Kevin MANCHUEL,  le 19 juillet 2008.  (fille de madame BARON qui a été professeur de mathématiques à Nazareth). Tous deux anciens de Nazareth.

**** François LUZINAR et Mlle Perrine PIERRU, le 16 juillet 2008. (fils de madame LUZINAR hôtesse d'accueil de Nazareth-Haffreingue- site St Martin.

NAISSANCES

**** Loïc né le 4 octobre 2008, de la part de Mme et Mr Charlotte et Xavier Regnault-Mulliez (3° enf.)

**** Marie Estelle née le 8 octobre 2008, de la part de Mr et Mme Thierry et Céline Carette - Dufossé (2° enf)

**** Cyprien né le 14 octobre 2008, de la part de Mr et Mme denis et Marie Marsollier - Dewas (3° enf)

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